Le nouveau défi de Martina Navratilova : sauver les moutons gays !
samedi 11 novembre 2006 Par Jimini, dans Humeurs -# 69 - Fil RSS
Je sais, dit comme ça, c'est plutôt drôle. Navratilova serait-elle devenue la Brigitte Bardot des moutons ?
En fait, quand on creuse un peu, c'est loin d'être drôle...
En effet, ce contre quoi Martina lutte, c'est les recherches qui sont faites par des chercheurs de l'Université de l'Oregon et l'Université de la Santé et des Sciences de l'Oregon sur des moutons prétendument homosexuels pour tenter de trouver pourquoi ils sont gays et pour les guérir. Les chercheurs installent dans le cerveau des béliers un dispositif qui délivre des œstrogènes dans le but de changer leurs préférences sexuelles. De plus, ils leur injectent des substances qui modifient les hormones sexuelles chez les foetus. Ces recherches durent depuis des années pour l'instant, heureusement, sans résultat.
"Comment, en 2006, une université peut-elle mener des recherches aussi homophobes et cruelles ?" s'interroge Martina dans un courrier qu'elle a envoyé aux présidents des deux universités. Il est clair qu'on ne peut que se révolter contre des recherches qui non seulement sont cruelles envers les animaux, mais en plus semblent avoir pour but de développer un traitement contre les déviances sexuelles... "Par égard pour les animaux qui mourront pour rien à cause de ces expériences et par égard pour les nombreux gays et lesbiennes qui sont profondément offensés par les conséquences sociales de ces tests, je vous demande, s'il vous plaît, de bien vouloir mettre un terme à ces études sur le champ." continue-t-elle. Sans compter qu'on pourrait utiliser les millions qui sont dépensés pour ces recherches à lutter contre l'homophobie...
En effet, ce contre quoi Martina lutte, c'est les recherches qui sont faites par des chercheurs de l'Université de l'Oregon et l'Université de la Santé et des Sciences de l'Oregon sur des moutons prétendument homosexuels pour tenter de trouver pourquoi ils sont gays et pour les guérir. Les chercheurs installent dans le cerveau des béliers un dispositif qui délivre des œstrogènes dans le but de changer leurs préférences sexuelles. De plus, ils leur injectent des substances qui modifient les hormones sexuelles chez les foetus. Ces recherches durent depuis des années pour l'instant, heureusement, sans résultat.
"Comment, en 2006, une université peut-elle mener des recherches aussi homophobes et cruelles ?" s'interroge Martina dans un courrier qu'elle a envoyé aux présidents des deux universités. Il est clair qu'on ne peut que se révolter contre des recherches qui non seulement sont cruelles envers les animaux, mais en plus semblent avoir pour but de développer un traitement contre les déviances sexuelles... "Par égard pour les animaux qui mourront pour rien à cause de ces expériences et par égard pour les nombreux gays et lesbiennes qui sont profondément offensés par les conséquences sociales de ces tests, je vous demande, s'il vous plaît, de bien vouloir mettre un terme à ces études sur le champ." continue-t-elle. Sans compter qu'on pourrait utiliser les millions qui sont dépensés pour ces recherches à lutter contre l'homophobie...
Commentaires
#1 - Le dimanche 12 novembre 2006 à 15:05, par My
#2 - Le dimanche 12 novembre 2006 à 16:41, par Jimini
#3 - Le dimanche 12 novembre 2006 à 20:27, par Delphine Dumont
#4 - Le dimanche 12 novembre 2006 à 21:34, par Jimini
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